Gérard Touchard parle d'Antonio Castellanos Mata.


<...> Antonio était un ami de très longue date, si longue que je ne me souviens plus exactement où et quand on s'est rencontré pour la première fois. Mais ce dont je me souviens c'est que nous avons immédiatement sympathisé. Tout en étant extrêmement brillant, il ne t'écrasait pas avec ses connaissances, bien au contraire il te faisait rire. Il était si gai, jovial, toujours blaguant. Après, c'était toujours une joie de se retrouver dans un congrès. On avait toujours un projet de recherche ensemble, toujours des perspectives. <...>